Anmeldung

Paru dans la presse en 2005









Le tourisme de communauté devient
une tendance au profit des pauvres
La plupart des excursions ont lieu dans des villages ruraux et dans peu de cas, dans des pays, où les Etats-Unis ont récemment levé des restrictions de voyage. Est-ce un problème? Non, dit M. Klaus Betz, un jury du prix To Do! de cette année (...). "Si vous êtes honnête, vous être toujours en sûreté car vous êtes des leurs." Les projets de soutien communautaire sont à l'origine de riches expériences car ils permettent un contact étroit avec la population locale. Voici quelques exemples: La société Renard Bleu Touareg à Zagora, Maroc, offre des treks d'une ou de deux semaines à dos de dromadaire dans le Sahara.
Sana Butler de: New York Times du 10 avril 2005

Le monde des Touaregs
Lorsque le soir ne laisse plus apparaître le soleil que sous la forme d'un disque pâle, les dunes ressemblent à des vagues prises par le gel. (...)Le programme prévoit qu'Abdellah adresse la bienvenue aux "visiteurs" du petit groupe dans sa famille autour du grand feu de camp. Les "touristes", dit-il, "vont dans les hôtels cinq étoiles, font une courte excursion en voiture dans le désert, la seule chose qu'ils emportent avec eux à la maison est leur bronzage. Les visiteurs s'accordent à notre diapason, ils partagent avec nous non seulement les bons moments mais aussi les moments difficiles de la vie dans le désert. Ils renoncent au confort et ils rentrent à la maison, l'âme tatouée."
Karin Ceballos Betancur dans: Frankfurter Rundschau du 12 mars 2005
Une semaine avec Khadija
Dans le Sahara, loin des routes, du bruit, des cafés, des fauteuils, des lits, des douches, nous - 14 femmes d'Allemagne - sommes seules dans le désert avec les nomades. Les voitures qui nous ont amenées ici ont disparu. Tout autour de nous des dunes jusqu'à l'horizon irrégulièrement ondulé. A l'ouest la chaîne montagneuse dont les doux contours ressemblent à des lettres. Une fois éloigné du feu, les voix ne sont plus perceptibles, on n'entend que le silence et le pouls dans l'oreille. Ce voyage est quelque chose de particulier car des femmes nomades se trouvent dans notre camp. La plupart des visiteurs du désert n'ont pas la chance de voir la façon dont vivent les femmes car toute forme de rencontre avec elles est normalement très réglementée.
Ania Faas écrit sur le camp de femmes Tinin Tarat dans: Brigitte de février 2005
Accord de Confidentialité